Ce week-end et le week-end précédent il a fait un froid de canard (entre 0 et 3°C) et un ciel bien gris mais j’ai pu faire quasi entièrement la pose de la porte sectionnelle du garage. On verra en fin d’article le pourquoi du « quasi entièrement ». La porte était commandée et reçue depuis septembre dernier, il était grand temps de la poser.
Ce garage a une particularité c’est qu’il n’a pas de plafond : c’est directement la charpente. Afin de pouvoir fixer les rails de la porte, je vais construire un support avec des bastaings et des équerres ou plaques de métal que je vais tordre pour aller les fixer sur les pannes de la charpente.
Pour plus de simplicité j’ai fixé un premier côté à la bonne hauteur, préparé une horizontale ce qui m’a permis de couper le deuxième montant à la bonne hauteur :
La suite du programme, le lendemain en fin de journée, fut la pose de la porte en elle même… 4 panneaux à visser entre eux et visser les roues. A la fin un peu de réglage et ça marche !
J’en parlais au début de l’article j’ai, à ce moment, détecté un problème. Une fois la porte montée, il faut relier le bas de la porte avec le tube à ressorts qui est tout en haut par un câble (de chaque côté). Après mise en tension des ressorts (un de chaque côté aussi), ce sont ces câbles qui aident à faire monter la porte et la retient lors de la descente. Malheureusement ce câble est trop long ce qui pose un problème de chevauchement quand la porte est montée.
En attendant de recevoir de nouveaux câbles plus courts, je continue avec le montage du moteur. Je décide alors de renforcer mon premier montage en bois (y’a du poids et du porte à faux) :
Et voilà pour la première porte 🙂 ah oui… y’en a une seconde 🙂 mais avant faut que je détruise l’ancien mur, fasse une tranchée, passe des écoulements/courant… avant que le maçon remonte un nouveau mur et que je monte la seconde porte.. on en reparle quand j’aurai commencé. Spoiler : ça sera pour le garage juste à droite 😉